jeudi 30 avril 2009
mercredi 29 avril 2009
Kanpyo Udon | Nosigner


via Spoon & Tamago and thedieline.com
Mourrir Éco | Christelle Boulé

Christelle avait développé ce projet l'année dernière dans mon cours d'emballage. Cette année, elle récidive avec un concept raffiné, trois modèles et toute une identité assez cohérente. Il s'agit d'urnes funéraires en papier dont les capuchons sont remplis de semences de chêne ou autre arbre noble pour se transformer poétiquement en arbre respectable qui à son tour donnera la vie. Très poétique ne trouvez-vous pas. Je préfère ça que de finir dans l'assiette des lombrics non? Question de point de vue. C'est encore une question de vision et de générosité peut-être même. Mais c'est certainement plus écologique. Je vous laisse y réfléchir un peu... On n'est pas pressé après tout.


mardi 28 avril 2009
POINT FINAL | Exposition de nos finissants | UQAM
Point de départ ou point d’arrivée, nos 44 finissants de l’École de design graphique de l’UQAM vous invitent le 29 avril à 18h au leur vernissage, au centre de design du même nom sur la rue Sanguinet.
Do not miss our UQAM Graphic Design graduates exhibition tomorrow and until sunday.
POINT | FINAL
Exposition des finissants en design graphique de l’UQAM
Du 30 avril au 3 mai 2009
Vernissage: 29 avril 2009 à 18?h
Centre de design de l’UQAM
1440 rue Sanguinet, Montréal
T. 514 987 3395
Do not miss our UQAM Graphic Design graduates exhibition tomorrow and until sunday.
POINT | FINAL
Exposition des finissants en design graphique de l’UQAM
Du 30 avril au 3 mai 2009
Vernissage: 29 avril 2009 à 18?h
Centre de design de l’UQAM
1440 rue Sanguinet, Montréal
T. 514 987 3395
Ecodesign au Paraguay | Camila Jara et Patricia García

I was very interested to find out that our Paraguayan colleagues are worried, just like we are, about environmental issues. Professor Osvaldo Olivera from Catolica University just sent me his students reusable bag project designed by Camila Jara and Patricia García. This is proving that environmental issues seams to have no border and they are bringing us all closer in a smaller planet.
Hangerpak | Steve Haslip

Ce projet a gagné le premier prix au concours DAD Student Awards 2007. Steve est un étudiant du School of Visual Arts de New York.


«The concept was fairly simple: I buy t-shirts online and they always come wrinkled and I always run out of coat-hangers. So I designed a sustainable, reusable way to send and keep your t-shirts. As you open the package you create a coat hanger. The packaging could be made from recycled material whether it is card or plastic and the only waste is the green tear-away tab.
This project won a FIRST prize in the D&AD Student Awards 2007 category 'What else do you do?'. I was dead chuffed to win a yellow pencil.»
lundi 27 avril 2009
Bulb | Igal Hodirker

via Lovely package


Qui veut du tofu? | Thanh Trinh

Je l’ai tout de même intégré à mon alimentation, mais beaucoup plus par principe que par passion. Si je mange du tofu, c’est pour éviter quelques repas de protéines bovines et ainsi faire plaisir au Dr Béliveau où encore pour essayer de me convaincre que mes canines ont été mises dans ma bouche par hasard et non pour des raisons fonctionnelles. Si au moins c’était beau… même pas. Adieu foie gras, ris de veau, jarrets et autres poisons adorables, l’intégrisme des bonnes pratiques alimentaires me l’ordonne : «plus tu tofu, moins tu te tues» hé hé…
Lisez ça à l’envers maintenant avec un air de la Bolduc!
Comment peut-on faire pour vendre ce mal nécessaire, laid et spongieux? Peut-être faut-il le présenter autrement et le supporter avec des mélanges épicés le rendre sexy? Voici en tout cas le concept présenté par Thanh dans mon cours de packaging. Voici la transparence à l’état pur l’élégance et la modernité. Voilà aussi peut-être une piste de solution.

Still, I eat tofu once in a while to skip a meat meal or to disclaim the four canines that happen to be placed in my mouth. At least it could look good, but no. Bye bye foie gras, calf sweetbread, veal shank, rib steak and other delicious poisons. The fundamentalism of good food habits suggest to me that the more I eat tofu, the least I kill animals… yeah I know but… ahhh forget it!
How can we sell that ugly and spongy badly necessary product? May be its just the way it could be presented? Maybe it could be offered with premixed sauces that look nice. Maybe the tofu could also be presented in an elegant way instead of that white plain bloc? This was Thanh’s answer to these questions in my packaging class. If the product is nice, why not let it just speaks by itself?
25 hour Hotel | Levi's

Une généreuse information de Claire Costa.

mercredi 22 avril 2009
Food Card | Doriane Quagliozzi

Ce geste de mettre à la poste demeure poétique pour moi. N’y voyez aucune nostalgie, mais plutôt une reconnaissance qu’avec la modernité nous perdons tout de même des petits morceaux d’une façon de vivre plus exclusive et plus généreuse.


I’m not a nostalgic and I appreciate the new technology, but that doesn’t mean I can’t be charmed by the good old postal service.

mardi 21 avril 2009
Fort comme un taureau | Édith Morin

This is Edith Morin's concept in my packaging class. The energetic powder aimed at sportive people is presented in a different visual culture: slightly nostalgic with cute slogan like «be strong like an ox».
lundi 20 avril 2009
LANCEMENT de PICA MAGAZINE

Le premier numéro a pour thème la typographie et rassemble une liste impressionnante de collaborateurs locaux et étrangers.
Lancement
Le vendredi 24 avril 2009
À l'Agora Hydro-Québec
du Coeur des sciences de l'UQAM
175, av. du Président-Kennedy, Montréal
(Métro Place-des-Arts)
De 18h30 à 21h30
Coût du magazine: 10$
For those of you who are living in Montreal, please take note that our students are publishing a magazine on typography. Don't miss the special launching event.
2008 RedDot Design Award | Packaging

Apart from this advent calendar sausage that made me laugh, I was not very excited by 2008 Packaging Winners for the RedDot Design Award. The project was to increase the sales of Koenecke (a famous German meat and sausage producer), especially in the wintertime. As solution a special advent calendar was created that was made of a salami sausage packaging with 24 indications to cut off a delicious slice every day. Designed by BUTTER in Berlin.
dimanche 19 avril 2009
Ecoexist | Laurent et Benjamin



This is at least what inspired students Benjamin Parienté and Laurent Sciamma in my Paris Workshop. They were proposing an exploration on the theme of the things we do for fun like throwing rice to newly married people, or throwing water balloons of simply eating popcorn and proposing a thought for those who could make a better use of those goods. Nice thinking I found.
jeudi 16 avril 2009
LeWif | David Edwards


le recyclage et l'art | Aleksandra Stratimirovic
mercredi 15 avril 2009
Pâtes | Yuan Gao

Cela dit, lorsque j’ai vu cet emballage de Yuan Gao dans mon atelier d’emballage à l’Intuit-Lab, je n’ai pas pu m’empêcher de penser que le design d’emballage était définitivement une discipline asiatique. L’emballage de pâtes virtuose et complexe de Yuan propose un système de soufflet qui s’adapte à la quantité du contenu. Plus on vide, plus on peut adapter la boîte en hauteur. Lorsque cette extension est réduite à son minimum, la boîte peut être donné pour un partage à un organisme de distribution alimentaire. Le graphisme typographique se modifie et du mot «pâtes», une phrase se déploie et dit « Les pâtes sont faites pour êtres partagés ».


That being said, when Yuan Gao presented me this beautiful package in my Paris workshop, I couldn't help but thinking that package design really belongs to the Asians. This virtuoso pasta package is built on a bellows system adjusting the box to its content. Once the box gets its minimal size, it is suggested to give the rest of the pastas to the community. The typography stretches and the initial word «pasta » becomes «pastas are made to be shared».

Campbell's | Warhol | Barneys

As the most forward-looking department store in New York, Barneys went all the way with its Andy Warhol-idays theme. reissuing the artist's take on the iconic Campbell soup can in edible form.
Bioplastiques | solution ou problème ?
Les bio plastiques à base d'amidon de maïs, pomme de terre et autre matières organiques peuvent à priori nous laisser croire qu'il s'agit d'une solution à toute épreuve pour le problème de pollution créé par les énormes quantités de déchets d'emballages. C'est du moins ce qu'essaie de démontrer la société London Bio Packaging sur son site Web.
Récemment cependant, plusieurs chercheurs ont remis en question l'aspect environnemental de ces bio plastiques prétendant que ceux-ci ne se dégradaient pas dans un contexte de site d'enfouissement et que s'ils le faisaient, ils généraient alors d'énorme quantité de gaz à effet de serre.
London Bio Packaging répond de façon intéressante à ce problème en soulignant que les bio-plastiques émettent 77% moins de CO2 que les plastiques conventionnels comme le PET par exemple.
Les critiques du bio plastique soulignent aussi que le maïs utilisé pour produire du bio plastique ne pourra pas être consommé pour l'alimentation et privera encore une fois les peuples plus démunis.
À cela London Bio packaging répond que le pourcentage du maïs utilisé par les bio plastiques en 2007 correspond à 0.0005% de la production alimentaire américaine. L'histoire ne dit pas quel serait le pourcentage si les bio plastiques remplaçaient totalement le plastique des emballages.
Bref, si ce genre de problématique vous intéresse, je vous invite à visiter le site Pakbec qui s'intéresse à toutes ces questions assez pointues mais essentielles à une compréhension globale de la problématique environnementale des emballages.
London Bio Packaging (LBR) believes that bio based plastics are the most environmentally friendly materials available and play an important role in creating a more sustainable society.
---
Recently some have challenged whether bio-plastics are actually environmentally friendly. London Bio Packaging raises these issues and responds to them.
The Concern: Bio-plastics do not break down in landfill and if they do they create methane.
One key environmental benefit of using bio-plastics is they have a lower carbon footprint thus helping to combat climate change. Bio-plastic (PLA) emits 0.75 kilos of carbon dioxide per kilo of resin as compared with conventional plastic (PET), which emits 3.4 kilos of carbon dioxide per kilo. So bio-plastic emits 77 percent less carbon dioxide. This is not just a marginal difference but a hugely important step in fighting climate change! (english text copied from parbek.blogspot.com)
Ça me fait penser au travail de Claire Darmon et de Julien Gaullet dans mon atelier à l'Intuit-Lab la semaine dernière à Paris. Ils exploraient cette complexe question éthique du maïs en regard de la faim dans le monde versus les besoins énergétiques des pays développés. Leur concept très simple offrait du maïs vendu dans un bio plastique, mais qui, une fois vide, posait une simple question pour un problème complexe.
This makes me think of Claire Darmon and Julien Gaullet’s concept in my packaging workshop in Paris last week. They were exploring this complex and ethic question of food versus energy in corn production. The corn in bio plastic bag would be available and would ask a simple question once the bag is empty. «Corn for food or for bio fuel?»
Récemment cependant, plusieurs chercheurs ont remis en question l'aspect environnemental de ces bio plastiques prétendant que ceux-ci ne se dégradaient pas dans un contexte de site d'enfouissement et que s'ils le faisaient, ils généraient alors d'énorme quantité de gaz à effet de serre.
London Bio Packaging répond de façon intéressante à ce problème en soulignant que les bio-plastiques émettent 77% moins de CO2 que les plastiques conventionnels comme le PET par exemple.
Les critiques du bio plastique soulignent aussi que le maïs utilisé pour produire du bio plastique ne pourra pas être consommé pour l'alimentation et privera encore une fois les peuples plus démunis.
À cela London Bio packaging répond que le pourcentage du maïs utilisé par les bio plastiques en 2007 correspond à 0.0005% de la production alimentaire américaine. L'histoire ne dit pas quel serait le pourcentage si les bio plastiques remplaçaient totalement le plastique des emballages.
Bref, si ce genre de problématique vous intéresse, je vous invite à visiter le site Pakbec qui s'intéresse à toutes ces questions assez pointues mais essentielles à une compréhension globale de la problématique environnementale des emballages.

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Recently some have challenged whether bio-plastics are actually environmentally friendly. London Bio Packaging raises these issues and responds to them.
The Concern: Bio-plastics do not break down in landfill and if they do they create methane.
One key environmental benefit of using bio-plastics is they have a lower carbon footprint thus helping to combat climate change. Bio-plastic (PLA) emits 0.75 kilos of carbon dioxide per kilo of resin as compared with conventional plastic (PET), which emits 3.4 kilos of carbon dioxide per kilo. So bio-plastic emits 77 percent less carbon dioxide. This is not just a marginal difference but a hugely important step in fighting climate change! (english text copied from parbek.blogspot.com)


o de oliva | Dfraille

J'adore cette approche simple et contemporaine de l'emballage. Jolies bouteilles d'huile d'olive conçues par le studio Dfraille en Espagne.
I really like this approach to packaging design that is so contemporary and simple. I grabbed this image on Lovely Package and it is a design by Dfaille in Spain.
mardi 14 avril 2009
Bravado | Marc Atlan


Retour à l'expéditeur | Isaure De Casteja

L’emballage pour des grains de blé prend la forme du grain lui-même pour devenir ensuite une tirelire. Le produit de base qu’est le blé est un excellent porte-parole pour faire la promotion d’une meilleure répartition des ressources alimentaires sur la planète. La tirelire pour sa part, propose un geste généreux qui permettra la distribution de nourriture dans les pays en besoin.



lundi 13 avril 2009
La part de l'autre | Bénédicte Michelet
J’arrive de Paris… Et oui, je suis déjà de retour dans notre belle République de la Banane. Endroit où l’on préfère d'ailleurs investir dans les Casinos, le béton, l’armée et le club de hockey Canadien plutôt qu’en éducation. Bon d’accord … J’arrête ici tout de suite parce qu’en fait, je me console car je suis vraiment enchanté de mon voyage au beau pays du savoir-vivre.
I just came back from Paris. Yep, I’m back here in my Banana Republic where concrete, casinos and the Canadian hockey team deserve more financing than education. At least that was my conlusion after reading the Canadian newpapers headlines while I was away. But forget that, I had a very nice trip in the country of good manners and good living last week.
Comme mentionné dans un billet précédent, je donnais un atelier à L’Intuit-Lab de Paris parmi d’autres invités dont Jorge Alderete de Mexico, Yves Testet de Québec et Liza Olskanskaya de Russie. J’étais invité par ce formidable organisateur qu’est Michel Olivier et qui nous a fait vivre une semaine aussi stimulante que divertissante.
As mentioned in a previous post, I was invited along with Jorge Alderete of Mexico, Yves Testet of Québec and Liza Olskanskaya of Russia to give a workshop on packaging at the Intuit-LAb in Paris by this fantastic host that is Michel Olivier. I tell you right of the bath, I was really impressed by that school founded by Patrick Felices in 2001. To describe the quality of the students there I would say: rigour, enthusiasm and involvement.
D’entrée de jeux, je vous dis que cette École créée en 2001 par Patrick Felices m’a vraiment impressionné à tous les niveaux; locaux exceptionnels, équipe dynamique, programme bien ficelé, tout de cette École m’a séduit sans oublier bien sûr les étudiants tous plus charmants et talentueux les uns que les autres. Si j’avais à trouver un mot pour définir ceux-ci, j’hésiterais entre les mots; rigueur, implication et enthousiasme. Pourquoi pas les trois au fait?
Après quelques exercices, j’ai proposé aux étudiants de réfléchir à la notion de répartition des ressources alimentaires dans le monde. Il s’agissait donc d’une exploration du potentiel de l’emballage comme média de communication. Ici, le produit est porte-parole et le «pack» (comme ils disent au pays de Molière) transpose le message en une expérience tri dimensionnelle engagée.
After some basic exercises, I proposed to students to develop a package that would express by its shape and its design the problem of equity of the food resources on the planet.
Ce premier projet est une conception de Bénédicte Michelet qui explore de façon éloquente l’aspect non équitable du commerce des ressources alimentaires et, si une image vaut mille mots, une démonstration en vaut sûrement encore plus.
This project by Bénédicte Michelet is exploring, in a very eloquent way, the repartition of the cost from producer to customer, highlighting the disparity of profits within the final price of a given product. If an image is worth a thousand words, how many is worth a demonstration?
I just came back from Paris. Yep, I’m back here in my Banana Republic where concrete, casinos and the Canadian hockey team deserve more financing than education. At least that was my conlusion after reading the Canadian newpapers headlines while I was away. But forget that, I had a very nice trip in the country of good manners and good living last week.

As mentioned in a previous post, I was invited along with Jorge Alderete of Mexico, Yves Testet of Québec and Liza Olskanskaya of Russia to give a workshop on packaging at the Intuit-LAb in Paris by this fantastic host that is Michel Olivier. I tell you right of the bath, I was really impressed by that school founded by Patrick Felices in 2001. To describe the quality of the students there I would say: rigour, enthusiasm and involvement.


After some basic exercises, I proposed to students to develop a package that would express by its shape and its design the problem of equity of the food resources on the planet.

This project by Bénédicte Michelet is exploring, in a very eloquent way, the repartition of the cost from producer to customer, highlighting the disparity of profits within the final price of a given product. If an image is worth a thousand words, how many is worth a demonstration?


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